Localisation : Chelsea
Thème : L’industrie des pâtes et papiers
Année : 1880
Capsule(s) reliée(s) :

1867-1960 - L’industrie des pâtes et papiers
Capsule
C20
Les deux « Gatineau Mills »

Le premier « Gatineau Mills », les moulins Gilmour aux chutes Chelsea, vers 1880. En haut, à droite, une dalle humide suit la rivière, sur une distance de cinq kilomètres, jusqu’au sud de l’actuel pont Alonzo Wright. Les madriers et les planches sont flottés et empilés le long de la rive. Des quais permettent aux barges d’accoster pour y être chargées.
Le premier « Gatineau Mills », les moulins Gilmour aux chutes Chelsea, vers 1880. En haut, à droite, une dalle humide suit la rivière, sur une distance de cinq kilomètres, jusqu’au sud de l’actuel pont Alonzo Wright. Les madriers et les planches sont flottés et empilés le long de la rive. Des quais permettent aux barges d’accoster pour y être chargées.
Vestiges des anciens moulins Gilmour aux chutes Chelsea, en 1909
Vestiges des anciens moulins Gilmour aux chutes Chelsea, en 1909
Une des chutes pittoresques de la rivière Gatineau près de Chelsea, en 1908. Les rapides et les chutes de cette rivière seront remplacés entre 1925 et 1928 par des barrages et des centrales hydroélectriques. La Gatineau Power, une succursale de la Canadian International Paper (CIP), allait y produire de l’électricité pour alimenter la grande papeterie de Gatineau Mills et pour combler les besoins énergétiques de la ville voisine d’Ottawa et des industries ontariennes. 
Une des chutes pittoresques de la rivière Gatineau près de Chelsea, en 1908. Les rapides et les chutes de cette rivière seront remplacés entre 1925 et 1928 par des barrages et des centrales hydroélectriques. La Gatineau Power, une succursale de la Canadian International Paper (CIP), allait y produire de l’électricité pour alimenter la grande papeterie de Gatineau Mills et pour combler les besoins énergétiques de la ville voisine d’Ottawa et des industries ontariennes. 
À l’extrémité de la rue Gilmour (rue Laurier), en 1926, se trouve la cour à bois de la compagnie Gilmour et Hughson. En 1920, cette firme passe sous le contrôle de la Gatineau Company, une filiale de la Canadian International Paper (CIP), tout comme la Gatineau Power Company.
À l’extrémité de la rue Gilmour (rue Laurier), en 1926, se trouve la cour à bois de la compagnie Gilmour et Hughson. En 1920, cette firme passe sous le contrôle de la Gatineau Company, une filiale de la Canadian International Paper (CIP), tout comme la Gatineau Power Company.
La scierie Gilmour et Hughson à l’embouchure du ruisseau de la Brasserie, vers 1920.
La scierie Gilmour et Hughson à l’embouchure du ruisseau de la Brasserie, vers 1920.
Vue du baraquement du chantier de construction des usines de la Canadian International Paper (CIP), à Gatineau Mills, en juin de 1926.
Vue du baraquement du chantier de construction des usines de la Canadian International Paper (CIP), à Gatineau Mills, en juin de 1926.
Salle de lavage du chantier de construction, le 11 juin 1926
Salle de lavage du chantier de construction, le 11 juin 1926
Ouvriers travaillant à la construction des fondations de l’usine de la CIP, le 21 juin 1926. À noter le treuil actionné par un engin à vapeur.
Ouvriers travaillant à la construction des fondations de l’usine de la CIP, le 21 juin 1926. À noter le treuil actionné par un engin à vapeur.
Vue de l’usine en construction, le 24 juin 1926
Vue de l’usine en construction, le 24 juin 1926
Monte-billes de la CIP, sur la rivière des Outaouais, vers 1939. Les travailleurs poussent les billes vers le pied du monte-billes avec leurs gaffes.
Monte-billes de la CIP, sur la rivière des Outaouais, vers 1939. Les travailleurs poussent les billes vers le pied du monte-billes avec leurs gaffes.
Tronçonnage des billes avant de les diriger vers des écorceuses
Tronçonnage des billes avant de les diriger vers des écorceuses
L’établissement d’une réserve de bois de pâte est un incontournable pour assurer le fonctionnement des moulins de pâtes et papiers durant la saison d’hiver. De là les empilements considérables de billots près des usines de la CIP. 
L’établissement d’une réserve de bois de pâte est un incontournable pour assurer le fonctionnement des moulins de pâtes et papiers durant la saison d’hiver. De là les empilements considérables de billots près des usines de la CIP. 
Arrosage d’un empilement de bois à Gatineau Mills, vers 1939
Arrosage d’un empilement de bois à Gatineau Mills, vers 1939
Acheminement des billots vers les déchiqueteuses. Ces derniers seront transformés en copeaux pour alimenter le digesteur vertical dans lequel est préparée la pâte au bisulfite.
Acheminement des billots vers les déchiqueteuses. Ces derniers seront transformés en copeaux pour alimenter le digesteur vertical dans lequel est préparée la pâte au bisulfite.
Digesteur vertical de la CIP, vers 1939
Digesteur vertical de la CIP, vers 1939
Pâte de bois entrant dans la fabrication du papier journal
Pâte de bois entrant dans la fabrication du papier journal
Machine à papier de la CIP à Gatineau Mills, vers 1939
Machine à papier de la CIP à Gatineau Mills, vers 1939
Machine à papier no 3 de l’usine de Gatineau Mills, telle que photographiée le 24 avril 1927
Machine à papier no 3 de l’usine de Gatineau Mills, telle que photographiée le 24 avril 1927
Pesée d’un rouleau de papier journal avant son expédition vers les États-Unis
Pesée d’un rouleau de papier journal avant son expédition vers les États-Unis
Chargement de rouleaux de papier journal dans un wagon de chemin de fer, vers 1939
Chargement de rouleaux de papier journal dans un wagon de chemin de fer, vers 1939
Expédition de rouleaux de papier journal par voie d’eau, vers 1939, à partir du port de Montréal
Expédition de rouleaux de papier journal par voie d’eau, vers 1939, à partir du port de Montréal
Quartier résidentiel des dirigeants et des employés cadres de l’usine de la CIP, sur la rue Poplar, le 2 novembre 1927
Quartier résidentiel des dirigeants et des employés cadres de l’usine de la CIP, sur la rue Poplar, le 2 novembre 1927

« Gatineau Mills », la ville-champignon qui naît et grandit à l’ombre de l’usine de pâtes et papiers de la Canadian International Paper après 1926, tire son origine de la fusion de compagnies comme  Edwards, Riordon et Gilmour et Hughson. Leurs scieries de Chelsea, de Hull, d’Hawkesbury, de Rockland et des chutes Rideau avaient drainé, pendant plus de 75 ans, le plus beau bois de sciage de la vallée de la Gatineau et de la rive nord de l’Outaouais. En 1853, la plus ancienne de ces firmes, la compagnie Gilmour, acquiert des frères Blasdell d’Ottawa leur scierie des chutes de Chelsea1 (image).  Connue sous le nom de «  Gatineau Mills », cette scierie est agrandie à plusieurs reprises. En 1871, sa production de bois de sciage s’élève à 35 millions de pieds mesure de planche2. Plus tard, en 1874, les Gilmour font construire la première de trois scieries à vapeur à l’embouchure du ruisseau de la Brasserie, à l’extrémité du parc Jacques-Cartier3. La troisième est érigée en 1893 par la Gilmour et Hughson, compagnie à laquelle vient de se joindre Ward C. Hughson4. Dès 1895, la scierie de Chelsea est fermée, celle de Hull prenant la relève jusqu’en 1925, année de sa fermeture. Cette entreprise, située sur le chemin Gilmour, aujourd’hui la rue Laurier, a joué un rôle important dans l’histoire de Hull.

C’est en 1920 que s’enclenchent les événements qui vont transformer de manière radicale la vallée de la Gatineau. Ces bouleversements sont essentiels à l’atteinte d’un objectif : la construction d’une des plus importantes usines de pâtes et papiers du Canada. La réalisation de ce projet grandiose donne naissance au deuxième « Gatineau Mills » de l’histoire de notre région, cette fois, en bordure de la rivière des Outaouais.

En 1920, la compagnie Riordon de Montréal s’associe à la Royal Securities Corporation pour mettre la main sur les compagnies Gilmour et Hughson et W.C. Edwards dans la région d’Ottawa, sur celle de Kipawa au Témiscamingue et sur la Ticonderoga Pulp and Paper au lac Champlain5. Cependant, la compagnie Riordon n’a pas les reins assez solides pour avaler autant de compagnies. En 1925, elle fait faillite, et c’est une succursale de la Canadian International Paper (CIP), la Gatineau Company Limited, qui devient propriétaire de cet empire pour la somme de 3 016 777 $6. Les dirigeants de la CIP planifient déjà ce qui va suivre : l’aménagement des ressources hydrauliques de la rivière Gatineau et l’utilisation d’une partie de cette énergie pour alimenter l’industrie des pâtes et papiers, aménagée sur les rives de l’Outaouais, en plein cœur du territoire agricole de la municipalité de Templeton-Ouest. En 1926, la CIP lance sa filiale, la Gatineau Power, à l’assaut de la rivière Gatineau, en procédant à la construction des centrales hydroélectriques des rapides Farmers, Chelsea (image) et Paugan, et en démarrant l’aménagement des barrages Mercier et Cabonga. Farmers et Chelsea sont en service dès 1927, Paugan en 19287.  Parallèlement, à compter de 1926, on fait ériger les usines de pâte mécanique et chimique et la grande papeterie de Gatineau Mills, des manufactures qui procureront du travail à trois générations de travailleurs de la région. Terminée en 1927, cette papeterie reçoit quatre machines à papier Fourdrinier de 271 pouces de largeur. Sa production, qui s’élève à 680 tonnes de papier journal par jour en 1927 est portée à 825 tonnes en 1940.  Ses pulperies, quant à elles, fabriquent 685 tonnes de pâte mécanique et 160 tonnes de pâte au bisulfite par jour. La CIP, qui veut diversifier le plus possible sa production, crée une nouvelle compagnie, la International Fibre Board, et fait construire une usine pour récupérer la cellulose du bois. Elle y fabrique du carton planche servant à l’industrie de la construction. Ses produits portent les noms de « Tentest » (un isolant), de « Termite-Test » (un antiparasite), de « Hydro-Test (un imperméabilisant), d’ « Acousti-Test» (un insonorisant), etc. C’est la naissance d’un véritable pôle industriel, auquel vient se joindre éventuellement l’usine de la Masonite Company of Canada8.

La nouvelle usine de pâtes et papiers attire de nombreux travailleurs. Ils s’y établissent et s’y enracinent. La municipalité du village de Gatineau Mills, érigée officiellement en 1933, devient ville en 19469. La croissance démographique, aux débuts attribuables aux investissements de la Canadian International Paper, s’est poursuivie grâce à la fonction publique fédérale dont les milliers d’emplois ont pris la relève d’une industrie des pâtes et papiers en déclin. Celle-ci doit se restructurer pour survivre! Un de ses derniers spasmes mène à la fermeture de la grande papeterie Bowater, ce qui met subitement fin à l’histoire d’amour qui liait depuis 1926 la localité de Gatineau Mills à l’industrie des pâtes et papiers.

Des ouvriers étaient venus de partout pour travailler à la construction des usines de la CIP à « Gatineau Mills ». Il s’y trouvait des gars de chantier qui avaient commencé à jouer de la hache, du godendard et du « bucksaw » à l’âge de douze ans.  Ils étaient fatigués de mener une vie de « bûcheux, de draveur et de semi-nomade » et étaient assoiffés de stabilité, de chaleur humaine et de solidarité. Ils s’engagaient au moulin, prenaient femme et se chargaient d’une famille (image). Ils se construisaient une petite maison à peu de distance des cheminées d’usine et s’installaient dans une routine, affaire de survivre à la Grande Dépression, d’élever leur famille et d’y placer un brin d’espoir pour la suite des choses. S’user à la tâche, prendre une bien maigre retraite après quarante années de labeur, ne jamais maugréer, tendre l’oreille pour attraper les rires des petits enfants qui s’amusent à l’extérieur, sourire en demi-teinte et se bercer en silence en attendant le « grand départ »… tel était leur destin10!

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Références et définitions

1 John W. Hughson et Courtney C. J. Bond, Hurling Down the Pine, Chelsea, The Historical Society of the Gatineau, 1987, p. 42.

2 Ibid., p. 44.

3 Ibid., p. 46.

4 Ibid., p. 50.

5 Pour une description détaillée de cette fusion de quatre entreprises par Riordon et un survol de l’évolution de chacune d’elles, voir : « Gigantic Merger of Pulp and Lumber Concerns », dans Canada Lumberman and Woodworker, June 15, 1920, p. 57-59.

6 John W. Hughson et Courtney C. J. Bond, op. cit., p. 56 et 59.

7 Patrick d’Esparbès, « Les centrales de la Gatineau » dans Hydro-Presse, mi-octobre 1977, p. 8-9 et Hydro-Québec, Les centrales de la rivière Gatineau, relations publiques, région Laurentides, 1982, ISBN 2-550-02796-5.

8 Benoît Brouillette, « L’industrie des pâtes et du papier », dans Esdras Minville (Éd.), La Forêt, Montréal, Éditions Fides, 1944, p. 206-208.

9 Sylvie Deschamps, Gatineau, des origines à 1950, Gatineau, Ville de Gatineau, 1987, p. 13.

10 Ce dernier paragraphe, véridique, se veut représentatif du récit de vie de journaliers pour lesquels la « job » au moulin fut leur planche de salut.

Sources et légendes des médias secondaires

PHOTO No 1
Source : Bibliothèque et Archives Canada, PA-27068. Photographe inconnu.
Légende : Le premier « Gatineau Mills », les moulins Gilmour aux chutes Chelsea, vers 1880. En haut, à droite, une dalle humide suit la rivière, sur une distance de cinq kilomètres, jusqu’au sud de l’actuel pont Alonzo Wright. Les madriers et les planches sont flottés et empilés le long de la rive. Des quais permettent aux barges d’accoster pour y être chargées.

PHOTO No 2
Source : Collection Pierre Louis Lapointe. Photographe : Alfred Lacroix.
Légende : Vestiges des anciens moulins Gilmour aux chutes Chelsea, en 1909

PHOTO No 3
Source : Collection Pierre Louis Lapointe. Photographe : Alfred Lacroix.
Légende : Une des chutes pittoresques de la rivière Gatineau près de Chelsea, en 1908. Les rapides et les chutes de cette rivière seront remplacés entre 1925 et 1928 par des barrages et des centrales hydroélectriques. La Gatineau Power, une succursale de la Canadian International Paper (CIP), allait y produire de l’électricité pour alimenter la grande papeterie de Gatineau Mills et pour combler les besoins énergétiques de la ville voisine d’Ottawa et des industries ontariennes.

PHOTO No 4
Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Centre d’archives de Québec, Fairchild Aerial Surveys, Cote N1273-30.
Légende : À l’extrémité de la rue Gilmour (rue Laurier), en 1926, se trouve la cour à bois de la compagnie Gilmour et Hughson. En 1920, cette firme passe sous le contrôle de la Gatineau Company, une filiale de la Canadian International Paper (CIP), tout comme la Gatineau Power Company.

PHOTO No 5
Source : « Gigantic Merger of Pulp and Lumber Concerns », dans Canada Lumberman and Woodworker, 15 juin, 1920, p. 59. Photographe inconnu.
Légende : La scierie Gilmour et Hughson à l’embouchure du ruisseau de la Brasserie, vers 1920.

PHOTO No 6
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0010.
Légende : Vue du baraquement du chantier de construction des usines de la Canadian International Paper (CIP), à Gatineau Mills, en juin de 1926.

PHOTO No 7
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0014.
Légende : Salle de lavage du chantier de construction, le 11 juin 1926

PHOTO No 8
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0020.
Légende : Ouvriers travaillant à la construction des fondations de l’usine de la CIP, le 21 juin 1926. À noter le treuil actionné par un engin à vapeur.

PHOTO No 9
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0023.
Légende : Vue de l’usine en construction, le 24 juin 1926

PHOTO No 10
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0163.
Légende : Monte-billes de la CIP, sur la rivière des Outaouais, vers 1939. Les travailleurs poussent les billes vers le pied du monte-billes avec leurs gaffes.

PHOTO No 11
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0168.
Légende : Tronçonnage des billes avant de les diriger vers des écorceuses

PHOTO No 12
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0179.
Légende : L’établissement d’une réserve de bois de pâte est un incontournable pour assurer le fonctionnement des moulins de pâtes et papiers durant la saison d’hiver. De là les empilements considérables de billots près des usines de la CIP.

PHOTO No 13
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0185.
Légende : Arrosage d’un empilement de bois à Gatineau Mills, vers 1939

PHOTO No 14
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0194.
Légende : Acheminement des billots vers les déchiqueteuses. Ces derniers seront transformés en copeaux pour alimenter le digesteur vertical dans lequel est préparée la pâte au bisulfite.

PHOTO No 15
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0200.
Légende : Digesteur vertical de la CIP, vers 1939

PHOTO No 16
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0210.
Légende : Pâte de bois entrant dans la fabrication du papier journal

PHOTO No 17
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p214.
Légende : Machine à papier de la CIP à Gatineau Mills, vers 1939

PHOTO No 18
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0343.
Légende : Machine à papier no 3 de l’usine de Gatineau Mills, telle que photographiée le 24 avril 1927

PHOTO No 19
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0233.
Légende : Pesée d’un rouleau de papier journal avant son expédition vers les États-Unis

PHOTO No 20
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0240.
Légende : Chargement de rouleaux de papier journal dans un wagon de chemin de fer, vers 1939

PHOTO No 21
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0006_p0243.
Légende : Expédition de rouleaux de papier journal par voie d’eau, vers 1939, à partir du port de Montréal

PHOTO No 22
Source : Archives de la Ville de Gatineau, Fonds de la Canadian International Paper, P030-01_0007_p0587.
Légende : Quartier résidentiel des dirigeants et des employés cadres de l’usine de la CIP, sur la rue Poplar, le 2 novembre 1927